Discriminé au sein du groupe Renault, fleuron de l’industrie automobile française depuis 1975, Laurent Gabaroum, dont le géniteur fit la seconde guerre mondiale pour libérer la France, n’obtint pas justice dans son pays,dit “des droits de l’Homme”. Il lui fallut faire appel à l’Organisation des Nations Unis (ONU) qui, en 2016 lui rendit justice en reconnaissant que l’entreprise française Renault l’avait discriminé et freiné évolution de sa carrière. Depuis alors, les autorités françaises,donc de son pays, n’ont jamais voulu notifier à Renault cette décision onusienne; la ministre du travail d’Emmanuel Macron,Muriel Pénicaud, vient d’ailleurs de décider de la mise à la retraite de Mr Gabaroum, sans se soucier de cette décision de l’ONU qui demande la révision de la carrière de celui-ci. Vous avez dit “pays des droits de…”? JMTV+

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