Quinze années d’exil, c’est le tarif qu’a payé cet amoureux de humour satirique dans son pays, autant paraphraser l’autre en disant : presque « mort pour ses idées …»
A une époque où une autre voix que l’unique, et surtout bienpensante, n’avait même pas le droit de murmurer, à une période où même les analphabètes dans les campagnes n’avaient pour seul droit que celui de connaitre par cœur le nom du parti unique et de son dieu, cet humoriste arriva et, comme donnant un coup de pied dans la fourmilière, bouleversa avec sa plume et ses mots l’establishment installé dans son pays qui, 20 ans après la décolonisation, s’était trouvé une certaine bourgeoisie post-coloniale totalement dézinguée intellectuellement, qui commençait même à confondre le vin du sang. La suite dans la 2ème partie et dans les 2 vidéos.

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